Lawrence

Catégories : Femmes fessées
il y a 10 ans
Depuis plusieurs mois j'habitais une ravissante demeure d'architecture traditionnelle située à proximité de la baie d'Eclagrin. Cette partie sauvage de la péninsule du Cotentin offrait de beaux paysages sauvages et avait gardé, pour l'essentiel, son authenticité. Il s'agissait de la Normandie secrète.

Celle que l'on découvre au détour des sentiers côtiers ou naguère les naufrageurs allumaient des feus sur des rochers pour attirer et dérouter les navires étrangers afin de les faire échouer, et ainsi les piller. Un monde de falaises de granit battues par les vents. Un monde de légendes qui n'avait que peu de rapports avec les stations balnéaires de Deauville ou Trouville, si artificielles, qui offraient des rêves aux touristes de passage avec ses longues plages à n'en plus finir.

Il m'avait fallu prés de quatre mois pour rénover cette maison dont j'avais hérité d'une grand-tante et je crois bien que sans les conseils d'une amie d'enfance qui était devenue architecte, je n'y serais pas parvenu. Emma n'avait pas tellement changé et elle restait à mes yeux la fille de la bande d'adolescents avec qui nous faisions les quatre cents coups. Je me demandais si elle avait toujours cet esprit aventureux. Nous étions cinq garçons, et c'est elle qui nous avait initié à l'art d'embrasser et de peloter, sans toute fois que cela aille plus loin. Ce qui n'avait pas changer pour moi, était le désir qu'elle m'inspirait. En rénovant les combles nous trouvâmes un prie Dieu ainsi qu'un coffre contenant une soutane et des vêtements de religieuse.

  • Ma grand-tante a été religieuse avant de quitter pour des raisons obscures le couvent. Il s'agissait d'un tabou dans ma famille. Personne n'en parlait et elle a vécu ici seule le reste de sa vie.

Toujours gouailleuse et délurée, elle me tendit la soutane.

  • Cela t'irait à merveille... Tu aurais l'air d'un ecclésiastique bien pervers.

  • C'est bien possible. Mais pourquoi pervers ? répondis-je gêné.

  • Je ne sais pas.

Elle avait rougit en répondant.

  • D'accord, je lâche le morceau. Quand j'étais jeune, j'ai préparé ma confirmation et un jeune curé fort beau nous confessait. Il s'asseyait sur une chaise haute et nous faisait agenouiller à ses pieds, les mains posées sur ses genoux pour ne pas perdre l'équilibre...

  • et alors ? Continue cela m'intéresse...

  • et un jour, j'ai fait volontairement déraper ma main entre ses jambes pour voir si les voies du Seigneur étaient aussi impénétrables qu'on le prétendait... Il n'a pas apprécié du tout et il m'a envoyée réciter un chapelet de "Je vous salue Marie" mais...

  • Sa queue et ses couilles te disaient le contraire.

  • Grégoire, je ne te pensais pas aussi cru !

  • Allez changeons de sujet, j'arrête de t'embêter, allons manger, tu veux bien ?

Quelques mois passèrent et alors que j'étais à Paris pour des affaires urgentes, je reçus un mail d'Emma me demandant de lui prêter ma maison pour organiser une grande fête pour ses amis le vendredi soir. Etant absent ce jour là, je lui répondit positivement et que je ne rentrais que le samedi soir.

En rentrant chez moi en voiture je constatais qu'il n'y avait nulle trace de ses amis. Comme l'annonçait la radio qui prévoyait des vents à f o r c e sept, le temps était effectivement à l'orage. Seule dans la cour était garée la voiture d'Emma. Devant la cheminée où crépitaient les bûches, Emma qui était habillée en religieuse semblait prier, agenouillée sur le prie Dieu.

  • Bonjour, Emma... tout va bien ?

  • Bonjour Mon Père...

Sur la table du salon reposait la soutane repassée du prêtre que je me décidais à revêtir pour jouer le jeu.

  • Mon enfant, la rumeur prétend que tu es une grande pécheresse

Je m'approchai d'elle, m'asseyais et posais ses mains sur mes genoux.

  • Commets- tu le pêché d'impureté en actes ou en pensées ?

  • Mon Père, je ne comprends pas, expliquez-moi.

Je pris entre deux doigts le bout d'un de ses seins et le malaxais doucement, puis un peu plus fort en le sentant durcir puis s'ériger. Sous la caresse, elle ne put réprimer un frisson. Je lui donnais aussitôt une tape sur les fesses.

  • Mon enfant, tu as ressenti du plaisir, n'est ce pas ?

  • Oui mon Père

  • Malheureuse ! Ce plaisir est un pêché et tu dois être punie !

J'allongeais à nouveau le bras et lui assenais deux autres fessées un peu plus appuyées. Emma sursauta, furieuse, prête à s'insurger avant que le trouble ne l'emporte. Sans doute avait-elle envie de continuer pour voir jusqu'où j'irais. Je pris donc la pointe de ses seins bien dure entre mes lèvres et les sucèrent longuement. Puis j'arrêtais net de l'agacer et la fis basculer son visage vers mon bas ventre. Elle releva ma soutane et sa bouche enfourna lentement ma tige. Tout en la fessant au rythme de ses sucions, d'une voix sévère je lui disais qu'une femme aussi ardente était un danger pour la religion, une créature diabolique que je devais à mon grand regret châtier.

Je glissais mon index entre ses deux fesses, sondait d'une phalange cet endroit maudit par le Pape et suivis le sillon jusqu'à son fruit.

  • Mon Dieu mais te voila toute mouillée ! Tout attouchement, même une fessée, t'es donc plaisir ! Il faut sur l'heure te défaire de ce penchant. Sais-tu comment on guérit le péché de gourmandise, fille de Satan ?

Sa bouche obstruée je ne perçus que faiblement sa réponse.

  • Non mon Père

  • On combat le feu du désir par le feu, la gourmandise par la gourmandise. Tu vas manger tant de gâteaux que tu en deviendras malade. Je vais entrer mon doigt en toi. Sens comme je le fais venir doucement. A présent je l'enfonce plus loin, je te fouille.

Je l'allongeais sur le tapis et l'allongeais jambe écartée afin de caresser son corps de mes doigts qui agissaient comme une brise légère soufflant sur sa peau depuis le haut de son visage jusqu'à sa vulve que je ne touchais plus de mes doigts mais de ma langue. La brise se transformait en des vents qui forcissaient au fil des minutes, comme une tempête qui grondait et s'apprêtait à cracher sa colère. Ma langue inquisitrice fouillait, léchait sans relâche son antre et comme le vent qui soulevait les vagues, elle relevait les replis de l'extrémité de son clitoris.

  • Oui mon père, continuez, je vais venir...

Arrivée au paroxysme de ses tremblements, je laissais retomber un peu son excitation pour la reprendre du bout de ma langue puis recommençais et recommençais pour l'amener au bord de la tempête.

  • N'arrêtez pas ! N'arrêtez pas !

Alors je la fis mettre à quatre pattes, sa croupe bien relevée et fit jouer ma râpe, jouant de gauche à droite, de haut en bas jusqu'à ce qu'Emma n'éclate en un gigantesque tempête à laquelle se mêlait le flot de mon écume saline.

Confuse, Emma partit précipitamment non sans avoir insinué que j'étais comme la mer, à la fois calme et tempétueuse.

En rangeant la soutane dans le coffre du grenier, je découvris par hasard caché au fond du coffre un paquet de lettres d'amants que nous n'avions pas vu avec Emma. Il s'agissait de billet doux échangés entre ma grande tante et son amant qui, je l'appris par la suite, était devenu Archevêque de Coutances.

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